En généralisant un peu, on pourrait dire que pour les soignants, les repas représentent une tâche. Lors de leur quart de travail, ils ont un nombre déterminé de résidents à aider lors des repas. Si l’autonomie de plusieurs résidents est très affectée, leur tâche sera d’autant plus lourde et le temps disponible par résident sera ainsi réduit. Ce contexte n’est pas toujours favorable à une « activité repas » agréable.
Les études nous indiquent pourtant que les repas sont d’une grande importance pour les personnes atteintes de problèmes cognitifs et leurs proches. Il s’agit d’un moment unique permettant de stimuler les capacités de la personne et socialiser :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4600313/pdf/12877_2015_Article_120.pdf