Le compte rendu sur le FLUORURE

Canada sans fluorure

3 decembre 2021

Numéro #6

Bonjour  :

 

LPOUVEZ-VOUS FIER SUR LES CONSEILS DES « EXPERTS » ?

Lorsqu'ils décident de soutenir ou de s'opposer à la fluoration, la plupart des électeurs sont influencés par l'approbation des associations médicales et dentaires. Ils croient que ces organisations en sont les experts, qu’elles ont effectué des recherches approfondies sur le sujet et qu’elles sont guidées par la science.
 
Dans le cas de la fluoration, ce n'est tout simplement pas vrai.
 
Lors du plébiscite d'octobre à Calgary, les promoteurs de la fluoration ont cité 27 organisations approuvant la pratique. Parmi ceux-ci, 18 étaient des groupes dentaires nationaux ou provinciaux, dirigés par l'Association dentaire canadienne (ADC). Le lobby dentaire, tant au Canada qu'aux États-Unis, a dirigé les efforts visant à fluorer l'eau potable et a été volontairement rejoint par l'établissement médical.
 
Comment est-ce arrivé? De 1945 à 1950, trois expériences ont été menées pour déterminer l'efficacité - et soi-disant, la sécurité - de la fluoration. Les villes de Brantford, Ontario, Grand Rapids, Michigan et Newburg, New York ont été fluorées et leurs taux de caries ont été comparés à des villes voisines similaires qui n'étaient pas fluorées.
 
Les études américaines devaient supposément durer dix ans. Mais en juin 1950, avant même que les études ne soient terminées, le US Public Health Service, sous l'influence considérable des industries de l'aluminium, de l'acier et du sucre qui voulaient minimiser les effets toxiques du fluorure ingéré, l'approuva de manière inattendue, citant des taux de caries inférieurs dans les villes fluorées.

 

En quelques mois, l'American Dental Association a approuvé la fluoration, suivie rapidement en 1950 par l'American Public Health Association et en 1951 par l'American Medical Association. L’Association dentaire canadienne ADC a suivi en 1953. Les dés étaient jetés. Bientôt, de nombreuses autres organisations ont pris le train en marche et en font la promotion depuis lors.
 
Veuillez noter qu'aucune étude de sécurité n'a été réalisée dans ces villes sur les effets nocifs connus du fluorure sur les maladies rénales, le diabète, les maladies de la thyroïde, la neurotoxicité et autres. Et aucune étude d'innocuité à long terme n'a été menée sur un quelconque effet nocif. Pourtant, ces organisations ont proclamé que la fluoration était sécuritaire pour tout le monde, sans preuves scientifiques pour les étayer.
 
C'était dans les années 50. On aurait pu espérer qu'à mesure que de nouvelles preuves scientifiques seraient découvertes sur la toxicité du fluorure, ces autorités agiraient en conséquence et s'opposeraient à la fluoration. Ou, à tout le moins, ils appelleraient à un moratoire s'il y avait un doute soulevé sur sa sécurité. Au contraire, ils n'ont rien fait.
 
Prenons un seul exemple : la neurotoxicité – dommages au cerveau.
 

  • Sur 78 études de neurotoxicité chez l'homme, 70 ont établi un lien entre des niveaux de fluorure plus élevés et des quotients intellectuels plus faibles. 
     

  • L’ébauche de la révision systématique la plus récente du National Toxicology Program des États-Unis a révélé que sur près de 30 des études de la plus haute qualité réalisées sur le sujet, toutes sauf deux associaient des niveaux de fluorure plus élevés à des QI plus faibles, 11 à des taux recommandés (0,7 ppm) dans l'eau fluorée.
     

  • Dans le procès en cours contre l'Environmental Protection Agency des États-Unis pour avoir autorisé la fluoration, même l'EPA a reconnu devant un tribunal fédéral ce qu'elle considérait comme les quatre études les plus solides. Tous ont été financés par les National Institutes of Health des États-Unis, qui n'acceptent que les recherches de la plus haute qualité. Trois ont montré des QI considérablement réduits chez les enfants et un a montré des taux de TDAH considérablement augmentés, tous à des taux standard (0,7 ppm) dans l'eau fluorée.

 
Comment peut-il être plus évident que la fluoration pose un risque certain ? Pourtant, les organismes qui la soutiennent continuent d'insister sur le fait qu'il est prouvé qu'elle est sans danger pour tout le monde. Il n'y a que deux explications possibles. Soit qu’ils n'en ont pas fait suivi scientifique, soit qu’ils en sont conscients, mais refusent d'admettre qu'ils ont eu tort et de changer de position. Ce n’est pas de la science. C'est du déni de la science.
 
Nous aimerions faire confiance à ces organismes et aux gouvernements du Canada, des États-Unis, des provinces et des états qui les soutiennent. Mais quand il s'agit de la fluoration, nous ne le pouvons simplement pas.
 
C'est pourquoi Canada sans fluorure a été créé. Nous dirons la vérité au pouvoir, en fournissant les informations essentielles dont le public a besoin pour prendre des décisions éclairées.
 
Rédigé par : Rick North, comité exécutif de Safe Water Calgary

FAIT SUR LE FLUORURE

Les organisations dentaires et médicales approuvent toujours les études inachevées réalisées en 1950 qui devaient déterminer l'efficacité et la sécurité de la fluoration. Ils refusent de reconnaître la science récente montrant une neurotoxicité pour le fœtus et pour les nourrissons nourris au biberon qui reçoivent une préparation reconstituée à base d'eau fluorée.

COMMENT POUVEZ-VOUS AIDER AUJOURD'HUI ?

Comme la désinformation est généralisée et que nous n’avons pas l'aide des médias, au cours des deux prochaines semaines, informez 10 personnes sur le les faits sur le fluorure rapportés ci-dessus et demandez-leur de passer le mot à 10 autres... etc. et n'hésitez pas à les diriger vers www.canadasansfluorure.ca/  s'ils veulent plus de faits.

Sincèrement,

Dr James Winter, Ph.D.

Canada sans fluorure

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