PRINCIPAUX POINTS A RETENIR DU JUGEMENT DE LA COUR
Voici les citations du jugement de la Cour mises en évidence
par James Lyons-Weiler, dans son Substack Popular Rationalism
Après des décennies de désinformation de la part du gouvernement américain sur la «sécurité» du fluorure dans l’eau potable, voici quelques citations notables du jugement du tribunal qui ressortent, en particulier dans le contexte de la désinformation de longue date sur la toxicité du fluorure :
«La Cour estime que la fluoration de l'eau à 0,7 milligramme par litre (« mg/l ») – la concentration actuellement considérée comme « optimale » aux États-Unis – présente un risque déraisonnable de réduction du QI chez les enfants.»
Cette conclusion remet en question la notion selon laquelle la fluoration de l'eau est totalement sécuritaire, soulignant le jugement du tribunal de donner la priorité aux preuves de préjudices en opposition à la politique traditionnelle.
«Il y a guère de contestations dans cette poursuite quant à savoir si le fluorure présente un danger pour la santé humaine. En effet le propre expert de l'EPA admet que le fluorure est dangereux à un certain niveau d'exposition.»
Même l'EPA, qui est responsable de la réglementation du fluorure, reconnaît que le fluorure peut être dangereux, contredisant les assurances publiques d’innocuité.
«Il y a de nombreuses preuves qui établissent que l'exposition d'une mère au fluorure pendant la grossesse est associée à des diminutions de QI chez sa progéniture.»
Ce lien évident entre l’exposition au fluorure et les dommages au développement du cerveau contredit directement les affirmations selon lesquelles le fluorure n’a aucun effet néfaste sur la santé.
«Le NTP a conclu que le fluorure est effectivement associé à une réduction du QI chez les enfants, au moins à des concentrations d'exposition égales ou supérieures à 1,5 mg/l (c'est-à-dire des concentrations d'exposition « plus élevées »). Malgré les difficultés inhérentes à l'observation des effets à des concentrations d'exposition inférieures, ce qui sera expliqué avec plus en détail ci-dessous, les scientifiques ont observé une association statistiquement significative entre le fluorure et les effets indésirables chez les enfants, même à des concentrations d'exposition « inférieures » (moins de 1,5 mg/l).»
Cet aveu du National Toxicology Program (NTP) est significatif, étant donné la croyance largement répandue selon laquelle seuls des concentrations très élevées de fluorure pourraient être nocives.
«Les preuves au procès dans cette cause établissent que même s'il existe une certaine incertitude quant à la concentration précise où le fluorure devient dangereux, même selon les estimations les plus conservatrices, il n'y a pas suffisamment de marge entre la concentration admise comme dangereuse et l'exposition humaine réelle pour démontrer que le fluorure est sans danger.»
L'absence d’une marge de sécurité est surprenante étant donné la fréquence à laquelle le fluorure a été présenté comme étant totalement sécuritaire aux concentrations utilisées dans les systèmes publics d’approvisionnement en eau.
«…les preuves scientifiques ont de plus en plus identifié un lien entre l'exposition au fluorure et les effets cognitifs indésirables chez les enfants (QI réduit).»
Cette reconnaissance d'un lien bien documenté entre le fluorure et les dommages cognitifs, en particulier la réduction du QI, contredit directement les affirmations de longue date selon lesquelles l'exposition au fluorure est soit bénigne ou soit bénéfique.
«La monographie du National Toxicology Program (NTP) a examiné 72 études épidémiologiques humaines et a conclu que l'exposition au fluorure est associée à une réduction du QI chez les enfants, en particulier à des concentrations d'exposition égales ou supérieures à 1,5 mg/l.»
L’analyse complète réalisée par une importante agence fédérale de santé souligne que les effets nocifs du fluorure ne constituent pas un problème isolé ou mineur, mais une conclusion cohérente dans de nombreuses études.
«Le risque pour la santé aux concentrations d'exposition dans l'eau potable aux États-Unis est suffisamment élevé pour déclencher une réponse réglementaire de la part de l'EPA dans le cadre de la Loi sur le contrôle des substances toxiques (TSCA) modifiée.»
Cet appel direct à une action réglementaire, motivé par la preuve des risques pour la santé liés aux concentrations typiques de fluorure aux États-Unis, contraste fortement avec les affirmations de longue date selon lesquelles ces concentrations étaient universellement sécuritaires.
«Des études ont établi un lien entre une diminution du QI, même avec une perte de seulement d'un ou deux points, par exemple, et une diminution du niveau d'éducation, du statut d'emploi, de la productivité et des salaires gagnés.»
Cette déclaration illustre les conséquences sociétales et économiques d’une grande portée, même de légères réductions du QI, directement liées à l’exposition au fluorure : un fait largement ignoré dans les débats publics.
«Même si la concentration toxique déterminée sur le plan toxicologique de 0,28 mg/l était jugée insuffisamment justifiée, les éléments de preuve versés au dossier établissent encore sans aucun doute que l'eau potable fluorée présente un risque d'atteinte à la santé.»
Cette déclaration met en évidence la conviction du tribunal que, même selon les interprétations les plus conservatrices, l’exposition au fluorure provenant de l’eau potable reste dangereuse.
«Le tribunal a également statué que les produits chimiques fluorés ne devraient pas être soumis à une charge de preuves plus lourde simplement parce qu'ils sont ajoutés à l'eau potable pour leurs bienfaits perçus sur la santé.»
Cela remet en question le discours traditionnel selon lequel le fluorure est exempté d’une évaluation rigoureuse à laquelle sont soumis les autres produits chimiques, ce qui implique que son rôle historique dans la santé dentaire ne justifie pas d’en ignorer les risques.
La décision du tribunal a méthodiquement démantelé les hypothèses de longue date sur l’innocuité du fluorure, soulignant le nombre croissant de preuves scientifiques liant le fluorure à la neurotoxicité et aux dommages au développement.
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