Voici les phrases du mois de MAIS, aussi échevelées que la coupe afro de notre éclosion, à tous.
" "Adresse aux poux, voire aux polis tiques.
Mais c'est pas bientôt fini ? mais quand bon allez vous lâcher ça ?
Cette manière, cette manie de s'accrocher à la peau jusqu'aux os.
A droite, à gauche, en haut, en bas, du sang plein les dents, du sang plein les pattes. Mais pourquoi voir si rouge, pourquoi faire si rouge ?
Les ponctions sont bien trop douloureuses au présent d'un corps, en vie.
...Mais après tant de ardues démangeaisons, vous aidant certes à introduire la paralysie des sens, il ne tardera plus à quiconque d'extirper le cerveau de la bête féroce, si petite..."
Au delà du mimétisme déplorable dont vous, boursiers à la barre, faites preuve, même l'absurde et presque inutile Affreux, sales et méchants ne dépasse pas la perfidie qui annonce le destin que vous imposez.
Ca finira en œillets je vous le dis, si jamais Charles le 9e aura cru que le muguet les détrônerait !
Votre technocratie nous tend la cravate bien trop fort. L'étranglement est un cri qui résonne depuis que l'Histoire est Histoire, y en a marre !
L'abus est un acouphène que l'on saura sous très peu restreindre.
La musique s'écrit pour sur-rire, pour une fois j'aimerais qu'elle vous fasse pleurer, et encore suis gentille... et à supposer que vous trouviez votre cœur.
Bon sang, et la bonne foi, bon de Dieu ! "
Quant à nous, enfants et grands enfants de l'innocence, prenons gare/garde à nos perceptions : la question ne peut être de savoir si le Juste milieu est plus lourd ou plus léger pour la balance. Et tachons de trier nos visuels... vite !