T’es-tu déjà retrouvé(e) soumis(e) à 2 contraintes incompatibles ? À devoir choisir entre 2 choses contradictoires, comme l’envie de te laisser aller, de te faire plaisir, face à tes convictions qui te ramènent à la réalité ? Depuis la crise sanitaire, les comportements et les aspirations ont évolué. À force de rester enfermer chez soi, de se priver des petits plaisirs du quotidien, on ressent un besoin de lâcher prise.
Commençons par notre envie d’évasion, qui est de plus en plus forte. Après être resté « coincé » dans un même environnement, on a naturellement envie de prendre le premier billet d’avion pour un lieu dépaysant. Mais va-t-on va vraiment le faire, car d’un autre côté l’avion ça pollue ? Changer d’aire oui, mais polluer celui de demain ? Ça relève un peu de la torture mentale tout ça on vous l’accorde. En attendant on peut aussi s’orienter vers une évasion à la française avec #Chilowé et #ExploraProject.
Notre alimentation elle aussi est impactée par l’anxiété et le stress générés par la crise sanitaire. On recherche du réconfort dans l’alimentation (pourquoi pas avec #MichelEtAugustin et leur pot de mousse au chocolat). Fini les régimes, on ne veut plus se priver. On est en quête du bien-être physique certes, mais aussi du bien être mental. Alors on va opter pour des plats gourmands et réconfortants, mais attention on veut quand même surveiller notre alimentation pour la planète non ? Avant de devenir fou on peut essayer un bon compromis avec #HappyVore.
Finalement notre conscience écologique nous rattrape rapidement, mais est-ce qu’on n’a pas aussi le droit à ce lâcher prise ? Peut-être qu’au final, on devient tous un petit peu schizophrène, et il n’y a rien de mal à ça. Flexitarien ou flexiconviction (oui nous venons de l’inventer celui-là), la clé est de ne pas être trop strict envers soi-même. Ça va dans tous les sens mais ça a un certain bon sens. Bienvenue dans l’ère des contradictions, où l’indécision est reine !