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La lettre mensuelle d'Ariane Bilheran

Censure du film Hold-Up en pleine déferlante totalitaire

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Télécharger le film

 

Il s'agit d'un essai du réalisateur Pierre Barnérias, les réactions en chaîne pour le disqualifier sans laisser une place au débat sont assez caricaturales et dévoilent clairement des pratiques médiatiques de type inquisitorial. Nous remarquerons que ces mêmes médias sont beaucoup moins prompts à analyser les manipulations quotidiennes qui visent les citoyens dans les discours politiques et médiatiques (il est bien connu que les discours politiques et médiatiques officiels ne manipulent jamais ! Et si ce même pouvoir vous dissuade de voir ce film, soyez persuadés sans en discuter que : c'est pour votre bien !).

Pensez à sauvegarder et archiver le travail qui vous plaît sur internet car il est fort possible que la censure s'intensifie.

Pour ma part, je donne carte blanche à l'archivage de mes vidéos et à leur diffusion sur d'autres chaînes du moment qu'elles indiquent ma chaîne YouTube source, et il en est de même pour mes articles, du moment que mon site est indiqué.

 

Un espace pour penser

Face à la censure et à la folie ambiante, je souhaite savoir qui serait intéressé pour des ateliers intitulés "un espace pour penser", que j'animerai avec des transmissions de concepts, de textes de sciences humaines, et dont le premier thème pourrait être "Penser le phénomène totalitaire".

J'ai l'idée d'ateliers hebdomadaires de 2 heures, qui auraient lieu de façon virtuelle en réunion collective, dans des groupes dédiés et fixes, mais je souhaiterais avoir un premier retour pour savoir si cela suscite l'intérêt de certains d'entre vous, et quelles sont vos suggestions, avant d'en définir plus précisément les modalités.

Merci de vos retours à ce sujet.

 

La calomnie, arme fatale du pouvoir harceleur

« Dans une libre République, chacun peut penser ce qu'il veut et dire ce qu'il pense ».

Spinoza.

 

L’une des armes les plus redoutables des pouvoirs harceleurs est la calomnie, c’est-à-dire l’attaque diffamatoire et mensongère ad personam contre le messager, afin que soit décrédibilisé son message, ou encore, qu’il soit désigné comme la personne à abattre, ou « la mauvaise personne » dont il ne faut surtout pas écouter le message.

Pour le pouvoir harceleur, « la fin justifie les moyens », c’est-à-dire que tous les coups sont permis, même les plus bas, les plus vils, et les plus abjects.

Les technologies modernes permettent une extension du phénomène, avec des équipes dédiées pour orchestrer des cabales (ententes secrètes de personnes pour nuire à quelqu’un en particulier qui les dérange dans leurs intérêts) contre les messagers dont le message dérange.

Voici un petit article pour décrypter les mécanismes, qui sont valables dans tout contexte harceleur. Je rappellerai que le harceleur (qui peut être un groupe) vise en particulier celui qui ne se soumet pas à son pouvoir abuseur.

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Article de ma collègue Laurence Leroy

sur la fragilisation de la position parentale

La position parentale est très attaquée dans son rôle de protection de la famille et des enfants, comme toujours dans les systèmes totalitaires.

Laurence Leroy nous donne ses réflexions à ce sujet, dans cet article.

Merci pour son courage dans cette situation politique devenue irrespirable.

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Entrevue avec le Docteur Régis Brunod, pédiatre et pédopsychiatre,

auteur de Préserver l'innocence des enfants

Voir la vidéo ci-dessous.

Le Dr Régis Brunod y rappelle quelques fondamentaux, notamment :

1° L'enfant n'a pas de sexualité, celle-ci se découvrant à l'adolescence ; il faut des prérequis à acquérir de façon antérieure (motricité, sensorialité, tendresse, affection, attachement...)

2° Il est essentiel de respecter le fonctionnement psychique de l'enfant, la pensée magique, l'imaginaire, et de ne pas faire effraction avec des thématiques et des préoccupations d'adultes.

3° Comment fonctionne la "pédophilie ordinaire" (à distinguer de la pédocriminalité de réseau) : les agresseurs sexuels d'enfant fonctionnent par séduction, manipulation, approche visant à intéresser l'enfant, et à l'attirer dans un piège dont il ne pourra pas sortir ; ils invoquent le fait que l'enfant a provoqué et cherché la sexualité avec l'adulte ; ils réclament être des initiateurs de l'enfant en matière sexuelle.

4° La politique de l'OMS en matière d'"éducation sexuelle" ne présente aucun caractère scientifique, et ne correspond pas aux données cliniques en pédiatrie, pédopsychiatrie et psychologie de l'enfance. C'est une politique qui intruse le psychisme infantile, est initiatrice, et susceptible de causer des effractions traumatiques. De plus, l'OMS entend contourner et invalider l'autorité parentale en la matière ce qui revient à supprimer à l'enfant ses protections parentales.

5° La majorité des transgresseurs de l'enfance sont des hommes.

6° La meilleure protection de l'enfant, dans la majorité des cas, est sa mère, et un milieu familial aimant. Il est anormal de raisonner à partir des exceptions (exemple : la famille voudrait maltraiter son enfant), et non de la norme, l'Etat s'arroge des prérogatives outrepassant son rôle.

7° Quelques règles de prévention également à l'attention des parents, enseignants et éducateurs.

8° L'amour, la tendresse et l'innocence des enfants sont essentiels à préserver pour le bien-être humain.

Littérature

Pour ceux qui veulent se changer les idées de la situation actuelle, rappel sur la saga des Girolami-Cortona tome 1, en vente sur mon site en format numérique ou sur amazon en vente papier pour ceux qui le souhaitent

 

Les Girolami-Cortona relèvent de ces anciennes grandes familles de la noblesse italienne puis corse. Le décès de la matriarche augure l’accomplissement de malédictions sur plusieurs générations. La guerre fratricide de succession commence. Plusieurs testaments sont découverts, sur des supports variés (papier, courriel, vidéo, SMS…), laissant entrevoir préférences, vengeances, lacunes et rancunes. Dans l’un d’entre eux, au travers d’une vidéo postée sur internet la veille du décès, les cinq héritiers sont mis au défi : seul(e) remportera l’héritage celui ou celle qui se sera montré(e) capable de résoudre une énigme à deux têtes. Quel est le vrai testament ? Qui saura dévoiler l’énigme ? Qui sera le digne héritier ? Les secrets de famille les plus enfouis resurgissent, entraînant chaque descendant au cœur d’un parcours initiatique où s’entrechoqueront dévoilements, obstacles, trahisons et retour aux origines. Seuls deux héritiers survivront à cette quête, en renonçant à l’héritage.

 

5,0 sur 5 étoiles Génial et déroutant

Commenté en France le 24 février 2017

Ce livre est cent fois déroutant. Sa prose m'a poussé plus d'une fois (sans crier gare) dans une géniale poésie. Son intrigue est telle un roman policier qui chercherait les tueurs...d’âmes. Et la morale de l’histoire, n’est pas une mince affaire ! Parce que cette question est vraiment posée ici à travers cette très égarée famille corse. Qu’est-ce que l’homme et sa folie qui circule entre les générations, dans les mémoires et les secrets révélés…Où est passé le bien, et pourquoi le mal ? Quel enquêteur réussira donc à délier tout cela, à délier la géniale énigme posée dès les premiers chapitres ? Le lecteur, peut-être, qui se tient actif en son fort intérieur, face à la décadence de cette famille ? Le lecteur qui au fur et à mesure des pages se dit que sa famille n'est pas si folle finalement. Ou l'est tout autant ? On en vient à ne plus rien savoir, à se dire qu’il y a cent façons aussi, de le lire, et à se poser mille questions salvatrices. J'attends avec impatience la suite de la saga des Girolami-Cortona.

 

Critique littéraire en corse du livre et sa traduction ici :

“À l’enterrement de la vieille, il n’y point de pleureuses “ Voici le début de ce très beau roman, qui nous émeut beaucoup. Il est question de la confrontation avec la mort, des relations mère/enfants, et enfants entre eux. Dans une langue pure, nous faisons le voyage entre l’Épitaphhe, le premier chapitre, et l’Épilogue, en passant par l’Oraison funèbre, les Testaments, Post morten, De Profundis, ou la Conversion et transfiguration et la Vendetta. Le lecteur est donc invité à découvrir ce qui se passe quand un parent (un des parents) meurt, en suivant les étapes des sentiments qui naissent toujours après la mort, et qui certaines fois ne sont pas si généreux. « La Vieille » meurt donc, elle sera ainsi appelée tout au long du livre. C’est le moment de faire la fête conformément aux dernières volontés de la défunte. Mais rapidement se révèlent les conflits ; comment savoir qui doit garder le piano, les vêtements… Si l’enterrement de La Vieille procure le soulagement, son héritage est source de conflits. La narration à la troisième personne nous permet de connaître les comportements des enfants : Mimi, Olympe, Marc, Marie et Luc. Comme toujours, après la mort de la mère, les souvenirs reviennent, il est de coutume de recevoir par la poste une enveloppe qui sent mauvais : un fromage pourri avec des vers dont le bruit et l’odeur effrayaient le facteur. Après le décès de la mère, sont révélés les secrets de famille ; l’oncle qui abusait des filles, la preuve que les enfants n’ont pas tous le même père ou la même mère et qu’il pourrait y avoir d’autres demi-frères inconnus… D’autre part, la mère avait couché avec la petite amie de sa fille ! Se pose aussi le problème de l’héritage : les cinq enfants avaient tous un testament en leur faveur, tous les cinq faux. On découvrira la vraie nature de cet héritage : La Vieille a laissé une devinette qui doit les mener à l’héritage. Je vous laisse découvrir les autres révélations, en précisant quand même que Marie entrera au Couvent de Corbara en Balagne, pendant que Luc, son frère, mourra dans des conditions suspectes. Cette histoire est aussi celle d’une famille maudite, qui s’exterminera tout au long de sept générations, c’est-à-dire celle des cinq enfants, avant de disparaître. La signadora sera consultée en vain. Et puis il y a ces morts étranges : celle de la Vieille et celle de l’oncle. Ici encore, nous découvrirons la vérité à la fin du roman. Voilà donc un livre très réussi qui nous conte une histoire digne des tragédies antiques.

« La vie n’est courte que par le mauvais usage qu’on en fait. » 
(Sénèque)

« Tâchez d’aimer vos semblables activement et sans relâche.
A mesure de vos progrès dans l’amour, vous vous convaincrez aussi de l’existence de Dieu et de l’immortalité de votre âme.
Et si vous allez jusqu’à l’oubli total de vous-même dans l’amour du prochain, alors vous croirez à coup sûr et aucun doute ne pourra pénétrer dans votre âme. » 
(Dostoïevski, Les Frères Karamazov)


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