Censure du film Hold-Up en pleine déferlante totalitaire
Voir la page Facebook du film
Télécharger le film
Il s'agit d'un essai du réalisateur Pierre Barnérias, les réactions en chaîne pour le disqualifier sans laisser une place au débat sont assez caricaturales et dévoilent clairement des pratiques médiatiques de type inquisitorial. Nous remarquerons que ces mêmes médias sont beaucoup moins prompts à analyser les manipulations quotidiennes qui visent les citoyens dans les discours politiques et médiatiques (il est bien connu que les discours politiques et médiatiques officiels ne manipulent jamais ! Et si ce même pouvoir vous dissuade de voir ce film, soyez persuadés sans en discuter que : c'est pour votre bien !).
Pensez à sauvegarder et archiver le travail qui vous plaît sur internet car il est fort possible que la censure s'intensifie.
Pour ma part, je donne carte blanche à l'archivage de mes vidéos et à leur diffusion sur d'autres chaînes du moment qu'elles indiquent ma chaîne YouTube source, et il en est de même pour mes articles, du moment que mon site est indiqué.
Un espace pour penser
Face à la censure et à la folie ambiante, je souhaite savoir qui serait intéressé pour des ateliers intitulés "un espace pour penser", que j'animerai avec des transmissions de concepts, de textes de sciences humaines, et dont le premier thème pourrait être "Penser le phénomène totalitaire".
J'ai l'idée d'ateliers hebdomadaires de 2 heures, qui auraient lieu de façon virtuelle en réunion collective, dans des groupes dédiés et fixes, mais je souhaiterais avoir un premier retour pour savoir si cela suscite l'intérêt de certains d'entre vous, et quelles sont vos suggestions, avant d'en définir plus précisément les modalités.
Merci de vos retours à ce sujet.
La calomnie, arme fatale du pouvoir harceleur
« Dans une libre République, chacun peut penser ce qu'il veut et dire ce qu'il pense ».
Spinoza.
L’une des armes les plus redoutables des pouvoirs harceleurs est la calomnie, c’est-à-dire l’attaque diffamatoire et mensongère ad personam contre le messager, afin que soit décrédibilisé son message, ou encore, qu’il soit désigné comme la personne à abattre, ou « la mauvaise personne » dont il ne faut surtout pas écouter le message.
Pour le pouvoir harceleur, « la fin justifie les moyens », c’est-à-dire que tous les coups sont permis, même les plus bas, les plus vils, et les plus abjects.
Les technologies modernes permettent une extension du phénomène, avec des équipes dédiées pour orchestrer des cabales (ententes secrètes de personnes pour nuire à quelqu’un en particulier qui les dérange dans leurs intérêts) contre les messagers dont le message dérange.
Voici un petit article pour décrypter les mécanismes, qui sont valables dans tout contexte harceleur. Je rappellerai que le harceleur (qui peut être un groupe) vise en particulier celui qui ne se soumet pas à son pouvoir abuseur.
Lire la suite...
Article de ma collègue Laurence Leroy
sur la fragilisation de la position parentale
La position parentale est très attaquée dans son rôle de protection de la famille et des enfants, comme toujours dans les systèmes totalitaires.
Laurence Leroy nous donne ses réflexions à ce sujet, dans cet article.
Merci pour son courage dans cette situation politique devenue irrespirable.
Lire la suite...
Entrevue avec le Docteur Régis Brunod, pédiatre et pédopsychiatre,
auteur de Préserver l'innocence des enfants
Voir la vidéo ci-dessous.
Le Dr Régis Brunod y rappelle quelques fondamentaux, notamment :
1° L'enfant n'a pas de sexualité, celle-ci se découvrant à l'adolescence ; il faut des prérequis à acquérir de façon antérieure (motricité, sensorialité, tendresse, affection, attachement...)
2° Il est essentiel de respecter le fonctionnement psychique de l'enfant, la pensée magique, l'imaginaire, et de ne pas faire effraction avec des thématiques et des préoccupations d'adultes.
3° Comment fonctionne la "pédophilie ordinaire" (à distinguer de la pédocriminalité de réseau) : les agresseurs sexuels d'enfant fonctionnent par séduction, manipulation, approche visant à intéresser l'enfant, et à l'attirer dans un piège dont il ne pourra pas sortir ; ils invoquent le fait que l'enfant a provoqué et cherché la sexualité avec l'adulte ; ils réclament être des initiateurs de l'enfant en matière sexuelle.
4° La politique de l'OMS en matière d'"éducation sexuelle" ne présente aucun caractère scientifique, et ne correspond pas aux données cliniques en pédiatrie, pédopsychiatrie et psychologie de l'enfance. C'est une politique qui intruse le psychisme infantile, est initiatrice, et susceptible de causer des effractions traumatiques. De plus, l'OMS entend contourner et invalider l'autorité parentale en la matière ce qui revient à supprimer à l'enfant ses protections parentales.
5° La majorité des transgresseurs de l'enfance sont des hommes.
6° La meilleure protection de l'enfant, dans la majorité des cas, est sa mère, et un milieu familial aimant. Il est anormal de raisonner à partir des exceptions (exemple : la famille voudrait maltraiter son enfant), et non de la norme, l'Etat s'arroge des prérogatives outrepassant son rôle.
7° Quelques règles de prévention également à l'attention des parents, enseignants et éducateurs.
8° L'amour, la tendresse et l'innocence des enfants sont essentiels à préserver pour le bien-être humain.