Collectif Paradoxes DERNIÈRES NOUVELLES - MAI 2020 |
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Les actualités partagées dans cet envoi rassemblent les dernières nouvelles recensées par et pour le Collectif Paradoxes sur le thème de la transition à la vie adulte des jeunes vulnérables. Pour diffuser vos travaux sur les différentes plateformes du Collectif Paradoxes, écrivez à : annie.vaillancourt.ciussscn@ssss.gouv.qc.ca ! |
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TOUTE L'ACTUALITÉ SUR LA PANDÉMIE |
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UN MILLION DE DOLLARS POUR LES ORGANISMES JEUNESSE EN DIFFICULTÉ Le gouvernement du Québec ouvre un volet temporaire d'un million de dollars au fonds Mille et UN (FM1) pour la jeunesse afin de venir en aide aux organisations jeunesse aux prises avec des difficultés financières importantes liées à la crise sanitaire actuelle. Ce financement doit être utilisé pour des projets destinés aux jeunes de 15 à 29 ans qui poursuivent des objectifs visés par la Politique québécoise de la jeunesse 2030 du Secrétariat à la jeunesse...Premiers arrivés, premiers servis ! |
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SOS ENFANTS PLACÉS Dans le contexte des confinements occasionnés par la COVID-19, plusieurs jeunes du comité des jeunes de l'Étude longitudinale sur le devenir des jeunes placés au Québec et en France (EDJEP) ont pris l'initiative de mobiliser des chercheurs et des partenaires dans une lettre ouverte sur la situation des jeunes de la «DPJ» et des jeunes vulnérables en contexte de pandémie. Cliquez sur l'image SOS ENFANTS PLACÉS pour lire cette lettre ouverte. Trois questions ont aussi été ajoutées à l'EDJEP pour examiner les impacts de la COVID-19 sur ces jeunes. À suivre... |
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PARTICIPANTS RECHERCHÉS En 2019, neuf Jeunes âgés de 15 à 29 ans ayant un Parent atteint d'un Trouble Mental (JPTM) ont participé à un projet de recherche de type Photovoice mené par Aude Villatte, professeure à l'UQO membre du Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF). Ce projet visait à mieux comprendre leur vécu et leurs besoins pendant leur transition à la vie adulte. Dans le contexte de pandémie actuel, Aude Villatte et Geneviève Piché, professeures responsables du laboratoire LaPProche, Marie-Ève Clément, professeure à l'UQO et Marie-Hélène Gagné, directrice du Centre de recherche JEFAR à l'Université Laval, souhaitent entendre d'autres JPTM de 16 à 25 ans à propos de leur vécu et de leurs besoins en contexte de confinement et de déconfinement. Date limite pour s'inscrire en ligne : le 22 mai. Début du projet : le 1er juin. Pour plus d'informations, cliquez ici. |
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RÉSULTATS DU PREMIER PROJET PHOTOVOICE Visitez l'exposition numérique du premier projet Photovoice en cliquant sur la photo «Grandir petit» de la jeune Victoria, 24 ans, et cliquez sur le lien suivant pour voir les affiches réalisées par les participants. | | |
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AUTRES PARTICIPANTS RECHERCHÉS |
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JEUNES AMOUREUX RECHERCHÉS Le Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles (CRIPCAS) est à la recherche de jeunes de 18 à 25 ans engagés dans une relation amoureuse pour une étude portant sur les trajectoires amoureuses des jeunes adultes. Compensation financière de 150$. |
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JEUNES AUX PRISES AVEC DES PROBLÈMES DE SANTÉ MENTALE RECHERCHÉS Le Centre de recherche de Montréal sur les inégalités sociales (CREMIS) recherche des jeunes de 18 à 30 ans qui ont reçu un diagnostic en santé mentale ou qui ont besoin d'accompagnement en santé mentale pour parler de santé mentale et d'accès aux services et à l’accompagnement. Pour plus d'informations, contactez Nesrine Bessaïh au 514-343-7157 ou via cette adresse courriel: recherche.jsm@gmail.com. |
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LE (RÉ)SO 16-35 Vous vous intéressez aux trajectoires de désistement du crime et de réintégration sociocommunautaire des jeunes judiciarisés ? Découvrez le (RÉ)SO 16-35, un programme de recherche regroupant six chercheurs et 23 partenaires publics et communautaires ayant pour objectif d'identifier les besoins des jeunes judiciarisés afin d'améliorer l’offre des service qui leur est destinée. |
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*Un article signé Natacha Brunelle et Daniel Bellemare publié dans la Revue Addiction (numéro 4, décembre 2019). |
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LES COÛTS DE LA SOUS-SCOLARISATION DES JEUNES PLACÉS Les coûts de la sous-scolarisation représentent une perte économique potentielle de près de 370 millions de dollars, et ce, seulement pour la cohorte des jeunes de l'Étude longitudinale sur le devenir des jeunes placés au Québec et en France (EDJEP), sans compter les frais associés à la judiciarisation, à l'itinérance, etc., selon un rapport déposé en février dernier par l'EDJEP, la Chaire de recherche du Canada sur l’évaluation des actions publiques à l’égard des jeunes et des populations vulnérables (CREVAJ) et la Chaire réseau de recherche sur la jeunesse du Québec. |
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UNE PISTE DE SOLUTION Une piste de solution à cette sous-scolarisation ? Le projet CLÉ qui vise à soutenir, financièrement et émotionnellement, la scolarisation postsecondaire des jeunes ayant vécu une expérience de placement. |
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Veuillez noter que le prochain envoi du Collectif Paradoxes se fera à l'automne. D'ici là, nous vous souhaitons à tous et à toutes un très bel été ensoleillé. |
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