Le compte rendu sur le FLUORURE Canada sans fluorure |
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Bonjour : DÉMOLIR LES MYTHES: ÉPISODE #7 |
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Dans l'infolettres numéro 14 nous avons vu que les promoteurs de la fluoration croient qu'il est possible de contrôler l’ingestion journalière pour l'entier de la population sans égard à toutes les sources de fluoration. Nous avons démontré que c'est un "mythe" illusoire, considérant l'énorme variation de consommation parmi tous les consommateurs ainsi que de jour en jour, sans compter le montant de fluor dans la nourriture et les breuvages y étant contenu de nos jours. Aujourd'hui, nous considérons : MYTHE #7 – |
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Que la fluoration ne modifiera pas sensiblement l’apport alimentaire en fluor. |
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LES AUTORITÉS DE LA SANTÉ N'ONT JAMAIS CONSIDÉRÉ L'APPORT DE FLUOR DIÉTÉTIQUE |
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Tous les aliments contiennent du fluor, certains très peu alors que d’autres, tel le poisson ou le thé peuvent présenter un apport loin d’être négligeable. Au moment de l’introduction de la fluoration, les autorités de la santé avaient estimé que l’alimentation n’apportait ni une quantité appréciable et ni suffisante de fluor que l’on croyait essentiel à la prévention de la carie dentaire. Par conséquent, il fallait "enrichir" en fluor l’eau potable combler cette "déficience". |
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Ces autorités ne comptabilisaient pas l’apport additionnel de fluor de l’eau fluorée consommée comme boisson. Elles n’avaient pas vraiment réalisé que cette eau fluorée serait un des ingrédients importants dans grand nombre de préparations culinaires tels que : riz, pain, céréales, légumineuses, lait et boissons reconstitués, et que ce fluor viendrait s’additionner au fluor déjà naturellement présent dans ces aliments. Conséquemment l’apport quotidien total de fluor augmenta bien au delà des intentions originales. Depuis le lancement de la fluoration au début des années 60, la plupart des gens consommaient leurs aliments venant directement de la ferme par l’entremise d'un marché sans autre intermédiaire. La consommation d'aliments de sources industrielles était très limité. Maintenant, une grande parti, sinon la majorité de nos aliments, sont préparés et transformés par l'industrie alimentaire commerciale. De plus en plus d'industries alimentaires et restaurants utilisent l'eau fluorée puisque de plus en plus de municipalités sont fluorées. Par conséquence, l'apport alimentaire de fluor continue d'augmenter constamment. Il est maintenant connaissable que l'apport de fluor chez les jeunes enfants excède le seuil toxique puisque tellement de leurs consommations sont transformés. L'eau potable est fluoré à 0,7 ppm, alors que le seuil toxique, selon des recherches récentes, est moins de 0,05 mg/kg de poids corporel/jour. La rigueur scientifique requiert une mise à jour régulière que l'apport diététique en évolution contribue aux choix changeant préférentiels. Afin d'assurer que l'apport total du fluor de toutes provenances se maintient sous le seuil toxique. Toutefois, il demeure toujours une pénurie d'études scientifiques qui évaluent la teneur du fluor dans les aliments transformés avec l'eau fluoré, particulièrement dans les aliments industrialisés. Voici les variables à considérer : Il y a une variété considérable de produits alimentaires sur le marché; Transformation dans différentes régions; Qui puissent ou ne pas être fluoré; Contenant une variation d'eau selon les procédés de production de chaque fabriquant.
Alors la concentration du fluor dans les aliments peux donc varier considérablement! Il n'y aucune réglementation gouvernementale qui requiert de stipuler la concentration du fluor dans les aliments. Il est donc impossible de déterminer l'apport du fluor par la consommation de nos aliments. Puisque les autorités de la santé ne se sont pas arrêté sur cette question, ils n'ont aucune idée à quel point la fluoration a augmenté l'apport du fluor dans la consommation des aliments dans la population, spécialement dans les régions où l'eau municipale est fluorée. Les rares auteurs qui ont publier à ce sujet mentionnent clairement cette flagrante lacune. Comme exemple, l'équipe renommé des médecins Warren et Levy du collège des dentistes de l'université de l'Iowa ont noté : "Peux d'études se sont penchées sur l'exposition au fluor dans les jus et breuvages de jus aromatisés préparés avec de l'eau."(i) Une autre étude publié dans la British Dental Journal rapporte que, “généralement, les enfants vivant dans des régions fluorées peuvent recevoir, seulement par les aliments, plus de fluor que la dose optimale suggéré, par l'apport journalier total”.(ii) |
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L’IMPACT DE LA FLUORATION SUR LES DIVERS ALIMENTS |
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Un groupe de chercheurs brésiliens, Casarin et autres, donc d’un pays qui n’a pas recours à la fluoration, s’est donnée comme objectif de déterminer les concentrations de fluor dans le repas brésilien typique (riz aux haricots) ainsi que dans les aliments transformés pour nourrissons et d’en estimer leur contribution à la fluorose dentaire. 36 échantillons d’aliments commerciaux pour |
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bébé et trois marques de riz et de fèves ont été achetés en 2001 dans des supermarchés dans deux villes du sud du Brésil et analysés. Dans les aliments commerciaux, il y avait des aliments prêts-à -manger, des gruaux, des formules d’aliments et du lait en poudre. Pour le riz et les fèves, les concentrations en fluor ont été évaluées à l’état cru, après la cuisson avec de l’eau fluorée à 0,7 ppm ou avec de l’eau distillée. Il faut aussi noter que la dose seuil pour le fluor a été calculée à 0,07 mg F/kg de poids corporel en termes de fluorose acceptable et non à 0,05 mg pour la simple fluorose. Voici leurs observations : «Les concentrations de fluor trouvées dans les grains de riz et des haricots étaient faibles. Cependant, ils ont augmenté de 100 à 200 fois après cuisson dans de l'eau fluorée. Même ainsi, ils étaient inférieurs à ce que l'on trouve dans certains aliments transformés. Un repas de riz et d'haricots préparé avec de l'eau fluorée serait responsable de 29 % de la dose seuil d'apport de fluor en termes de fluorose acceptable; la contribution de certains aliments transformés atteint 45 %.» (iii) (Traduction et en emphase de l’auteur) Les découvertes de cette équipe de chercheurs brésiliens sont très inquiétantes et troublantes : un repas typique à lui seul, sans inclure l’eau fluorée qui pourrait être bue à ce repas, apporte déjà 29 % de la dose seuil d'apport de fluor en termes de fluorose acceptable et le pourcentage passe à 45 % pour les aliments commerciaux s’ils sont préparés avec de l’eau fluorée. Dès que l’on utilise de l’eau fluorée, il y a de très grands risques d’endommager la santé dentaire de nos enfants. Les chercheurs brésiliens n’étaient pas seuls à observer l’impact de la fluoration sur l’apport alimentaire. En 1996, des chercheurs américains ont trouvé une différence significative dans la teneur en fluor des boissons de fontaine et dans les aliments cuits ou reconstitués préparés avec de l'eau locale entre les deux communautés dont l’une était fluorée et l’autre pas. (iv) En 1922, dans une étude Australienne, un groupe de chercheurs ont analysé la teneur en fluor d'un total de 326 échantillons d'aliments solides et 49 échantillons d'aliments liquides. Ils ont remarqué une grande variabilité de teneur en fluor dans les aliments et boissons pour bébés prêts à consommer. Ils ont attribué ces grandes variations aux étapes de transformation, aux différents ingrédients et à leurs origines, y compris l'eau. «En général, nous avons constaté que la teneur en fluor de la plupart des échantillons prélevés sur les marchés australiens était élevée et pouvait donc comporter un risque de fluorose dentaire. Ces résultats soulignent la nécessité pour les parents de recevoir des informations appropriées sur la teneur en fluor des aliments et boissons prêts à consommer pour nourrissons.» (v) (Traduction de l’auteur). En 2014, un groupe de chercheurs dentistes américains ont mené, une étude aux États-Unis : «Cette étude visait à évaluer la teneur en fluor des aliments pour nourrissons disponibles dans le commerce et à guider les dentistes qui conseillent les parents de jeunes enfants sur l'apport de fluor. Trois échantillons de chacun des 20 aliments différents (dont des fruits et légumes, ainsi que du poulet, de la dinde, du bœuf/jambon et des dîners végétariens) provenant de 3 fabricants ont été analysés (en double) pour leur teneur en fluor. Parmi les 360 échantillons testés, la concentration de fluor variait de 0,007 à 4,13 μg de fluor/g d'aliment. Tous les aliments testés avaient des quantités détectables de fluor. Les produits à base de poulet présentaient les taux moyens de fluor les plus élevés, suivis des produits à base de dinde. Consommer plus d'une portion par jour des produits à forte concentration de fluor dans cette étude placerait les enfants au-dessus de l'apport quotidien recommandé en fluor. Le fluor provenant des aliments pour nourrissons doit être pris en considération lors de la détermination de l'apport quotidien total en fluor.» (vi) (Traduction de l’auteur). Cette étude sonnait l’alarme : consommer plus d’une seule portion des produits industrialisés pour nourrissons à forte concentration de fluor mettrait l’enfant à risque de fluorose. |
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EN CONCLUSION L’analyse que nous venons de faire dans cette infolettre démontre que la concentration en fluor des divers aliments varie. Celles des formules de lait pour nourrissons est sujet à des variations non seulement d’une marque à l’autre mais aussi d’un lot à l’autre de la même marque. Certaines, plus particulièrement celles de soya, ont des concentrations de fluor notamment plus élevées. Puisque les bébés, en vieillissant, ne sont pas seulement limités aux formules de lait pour biberon, mais aussi aux jus et aux aliments préparés commercialement avec de l’eau fluorée, le risque d’un doublement de l’apport alimentaire en fluor est une réalité inévitable. Étant donné que la recherche sur l’apport alimentaire en fluor est encore très parcellaire, surtout celui des aliments commerciaux transformés avec de l’eau fluorée, la surveillance santée sur la concentration en fluor des aliments n’a pas encore été instituée. Il n’y a toujours pas d’étiquetage sur la concentration en fluor de différends aliments. Les autorités de la santé, les gouvernements et la population ne sont pas encore sensibilisés aux risques d’un apport excessif en fluor provenant des aliments industrialisés. Il donc impossible d’assurer qu’au moins, une partie de la population, surtout les jeunes enfants, ne consomment pas un excès et donc toxique montant de fluor. Si les autorités de la santé ne parviennent pas à évaluer que l'étendue de l'apport diététique puisse être problématique, c'est qu'il sont méconnaissant de la complexité de l'impact de la fluoration. On doit conclure que la fluoration était une mesure de santé publique inconsidéré et irréfléchie dès sa conception. Nous en faisons la preuve en détruisant un par un les mythes sur lesquels elle repose. Gilles Parent, ND Membre du conseil d'administration de Canada sans fluorure Coauteur de La fluoration : autopsie d’une erreur scientifique ___________________ i) Kiritsy. M. C.. S. M. Levy. J. J. Warren. N. Guha-Chowdhury. J. R. Heilman. T. Marshall. «Assessing Fluoride Concentrations of Juices and Juice-flavored Drinks» J Am Dent Assoc. Vol. 127. no 7. 1996. p. 895-902. (ii) Zohoori. F. V.. G .Whaley. P. J. Moynihan. A. Maguire. «Fluoride Intake of Infants Living in Non-Fluoridated and Fluoridated Areas» Br Dent J. Vol. 216. no 2. 2014.p. E3. (iii) Casarin. R. C. V.. D. R. M. Fernandes. Y. B. O. Lima-Arsati. J. A. Cury. «Fluoride Concentrations in Typical Brazilian Foods and in Infant Foods» in Portuguese. Rev Saude Publica. Vol. 41. no 4. 2007. p.549-56. (iv) Jackson. R. D.. E. J. Brizendine. S. A. Kelly. R. Hinesley. G. K. Stookey. A. J. Dunipace. «The Fluoride Content of Foods and Beverages From Negligibly and Optimally Fluoridated Communities». Community Dent Oral Epidemiol . Vol. 30. no 5. 2002. p. 382-91. (v) Chandio. N. . J. R. John. S. Floyd. E. Gibson. D. K .Y. Wong. S. M. Levy. J. R. Heilman . A. Arora. «Fluoride Content of Ready-to-Eat Infant Foods and Drinks in Australia» Int J Environ Res Public Health. Vol. 19. no 21. 2022. p. 14087 (vi) Steele. J. L.. E. A. Martinez-Mier. B. J. Sanders. J. E. Jones. R. D. Jackson. A. E. Soto-Rojas. A. M. Tomlin. G. J. Eckert «Fluoride Content of Infant Foods». Gen Dent. Vol. 62. no 2. 2014. p.72-4. |
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FAIT SUR LE FLUORURE Il est maintenant évident que même seulement le choix de vos aliments peuvent excéder le seuil toxique attribué au fluor. Ce seuil toxique, selon des études récentes, est inférieur à 0,05 mg/kg de poids corporel/jour. |
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QUE POUVEZ-VOUS FAIRE AUJOURD'HUI ? Si vous avez de jeunes enfants, considérez combien de leurs aliments en poudre ou déshydratés ayant recours à être reconstitués avec de l'eau. Si vous vivez dans une communauté fluorée, pourvoyez-vous d'un système de filtration du fluor pour votre famille au lieu de l'eau du robinet afin de réduire l'apport de ce produit chimique. |
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Sincèrement, Dr James Winter, Ph.D. Canada sans fluorure Directeur de l’infolettre |
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